Séjour où des corps vont cherchant chacun son symptôme. Assez médicamenteux pour permettre d'étouffer en vain. Assez restreint pour que toute arthrose soit vaine. C'est l'intérieur d'un enveloppement fiévreux ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la digestion. Pharmacie. Sa rémission. Son sédatif. Sa coupure comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la compresse totale émettaient chacun sa réanimation. L'infirmier qui l'agite. Il se tuméfie de loin en loin tel un bacile sur sa fin. Tous s'infectent alors. Leur priapisme va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout hoquette.
Bidouille (Nordmann)
faites muter vos textes |
le fil info |
géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
nos romans |
encre |
menu |
contact |